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Le ministre de l’Économie Guy Parmelin choisit la voie royale : le libre-échange plutôt que l’adhésion à l’UE

Par JUDC FR  Publié le 4. juillet 2025

Alors que les autres partis et le Conseil fédéral veulent lier la Suisse à l’UE en crise par un traité d’adhésion, le ministre de l’Économie Guy Parmelin suit la voie royale et conclut avec succès des accords de libre-échange avec le plus grand nombre de pays possible. Rien qu’en 2024 et 2025, sous l’égide du ministre de l’Économie, la Suisse a signé des accords avec :

  • Inde : La Suisse et les autres États membres de l’AELE ont été les premiers partenaires européens à conclure un accord de libre-échange (ALE) avec l’Inde, le pays le plus peuplé au monde. La classe moyenne indienne, en pleine expansion, contribue à un potentiel de croissance important.
  • Thailande : La Suisse et les autres États membres de l’AELE ont été les premiers partenaires européens à conclure un accord de libre-échange (ALE) avec l’Inde, le pays le plus peuplé au monde. La classe moyenne indienne, en pleine expansion, contribue à un potentiel de croissance important.
  • Malaisie : En 2024, les importations et exportations de marchandises entre la Suisse et la Malaisie ont dépassé 1.4 milliard de francs. La Malaisie est la deuxième destination des investissements suisses en Asie du Sud-Est, après Singapour. En 2022, les investissements directs s’élevaient à 3.4 milliards de francs.
  • Kosovo : Le volume des échanges bilatéraux entre la Suisse et le Kosovo, qui s’élève à environ 140 millions de francs (2023), présente un potentiel de développement supplémentaire. L’ALE ouvre désormais un large accès au marché et améliore le cadre juridique et la prévisibilité pour les acteurs économiques.

La Suisse a également pu moderniser et approfondir ses accords avec le Chili et l’Ukraine et reprendre en 2024 les négociations avec la Chine en vue de réviser l’accord de 2014. Un nouvel accord pourrait être conclu avec la Chine avant la fin de l’année.

Le libre-échange plutôt que l’adhésion à l’UE : pour l’UDC, c’est la voie royale pour la Suisse. Le projet d’accord avec l’UE mettrait en revanche fin à la voie bilatérale. Il s’agit d’une adhésion complète à l’UE ! Avec cet accord, la Suisse serait obligée de :

  • reprendre automatiquement le droit européen ;
  • renoncer aux droits populaires, ce serait la fin de la démocratie directe ;
  • reprendre toute la bureaucratie de l’UE ;
  • se soumettre à des juges étrangers – en cas de litige, c’est le tribunal de la partie adverse qui tranche : la Cour de justice de l’Union européenne ;
  • subir davantage d’immigration – si la population suisse souhaite limiter l’immigration, l’UE peut sanctionner notre pays par des amendes et des sanctions ;
  • payer des milliards à Bruxelles.

La sécurité par la soumission ? Non merci !
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